Le scandale Pegasus démontre non seulement les limites de la démocratie à l’ère du numérique ainsi que le détournement du numérique pour des fins d’espionnage. Ce scandale répond à certaines craintes que j’évoquais il y a quelques années sur l’apport de l’intelligence artificielle sur la démocratie. Dans le premier billet de la série, je vous propose de découvrir cette opinion que j’ai contextualisé à cette actualité.

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