ℹ Cet article est issu de la Série « Billets Verts » et a préalablement été diffusé sur foumi.mondoblog.org

C’est très amer que le président de la COP26, Alok Sharma, a clos la conférence. Les résultats de cette dernière sont bien loin des attentes. On peut dire sans aucun risque que la COP26 est un échec. Comme la majorité des conférences climatiques que nous avons connues. Il est clair que sauvegarder la planète est une nécessité. Par contre, les moyens et les engagements collectifs que tous les Etats doivent prendre restent au stade de vœux. Et ceci au grand désarroi des acteurs de la société civile. Greta Thunberg a bien résumé la situation : « bla-bla-bla » . Comme je le disais, il ne s’agit pas d’un échec inattendu. Les conférences climatiques ont la réputation de rarement aboutir à des accords. Et cela est dû à la configuration du droit international de l’environnement. Ici, je vous démontre les raisons de la rigidité de la discipline alors qu’une certaine flexibilité aurait facilité la prise de nouvelles règles de protection de l’environnement.

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